4ème de couverture :
16 octobre 1946. À l'issue du procès de Nuremberg, le dignitaire nazi Julius Streicher monte à l'échafaud. Avant d'être pendu, il lance : « Ce sont les Juifs qui vont être contents ! C'est Pourim 1946! » Stupeur dans le monde. Qu a-t-il voulu dire ? Il est établi que Streicher fait référence à une fête juive qui commémore les événements relatés dans un texte biblique vieux de deux mille ans : le «Livre d Esther ». Mais sa déclaration n'en demeure pas moins énigmatique.
J'ai aimé :
- Les épisodes de narrations pures : l'histoire de la Reine Esther, le procès de Nuremberg, l’écriture de Mein Kampf
J'ai moins aimé:
- Un souci de rythme
- Le manque de révélations vraiment hallucinantes
Impressions :
Pour tout vous dire, j'ai eu du mal à finir ce livre, pourtant pas bien épais. Le thème de départ me plaisait bien et j'ai ravi de découvrir un récit qui allait perturbé mes acquis. C'est comme ça que la personne qui me l'a prêté me la présenter. Et là, BADABOUM ! Rien. Certaines idées sont super intéressantes et certaines coïncidences laissent perplexes.
Le souci vient du rythme du livre je pense. On alterne entre les recherches des auteurs sur le Code d'Esther, qui sont parsemé de doutes, de réflexions et d'interviews à des spécialistes de la Torah d'un côté et d'autres parties plus racontée concernant certains histoires juives ou certains faits historiques. Autant j'ai adorée ces parties là, autant je n'ai pas du tout adhéré aux côtés recherches. Je trouvais que ça manquait de rythmes et de révélations vraiment WAOUH ! Alors est-ce mon manque de culture vis à vis de la culture juive ou est-ce que ça manque vraiment de révélations qui scotchent ? Je n'arrive pas trop à savoir.
Comme nous suivons une enquète "en temps réelle", il n'y pas de personnages auxquels ont peu réellement s'attacher, même il est très facile de se projeter dans les pensées du narrateur qui parlent bien de ses doutes et de ses émotions intenses (avec les camps de concentration).
Note 14/20
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