lundi 23 octobre 2017

On reconnait le bonheur au bruit qu'il faut en s'allant

de Marie Griessinger aux Editions Milady (2015)
Genre : Contemporain - 192 pages

4ème de couverture:

Jean-Michel sombre dans la nuit, absent à tout. Sa femme lutte avec une force douce et rageuse à ses côtés, s’épuisant à croire que son amour inébranlable pourra faire revivre l’homme qu’il fut.
Leur fille assiste impuissante au lent déclin de ce père tant aimé. Comme pour défier le destin, elle convoque les souvenirs des jours heureux, d’un bonheur que rien ne pourra effacer.
Avec une simplicité et une sincérité bouleversantes, Marie Griessinger exprime dans ce premier roman sobre et émouvant la douleur de toute perte, mais aussi l’amour d’une fille pour son père.

Mes impressions

Ce petit livre aborde des thèmes très forts sur la dépendance, le handicap et le regard des aidants dans le cadre des pathologies lourdes et chroniques. Et, je pense que ce livre n'était tout simplement pas pour moi étant donné que, vu mon métier, c'est du "déjà vu". La plupart des questions que posent l'auteur je me les ai déjà posées. A part une ou deux reflexions que j'espère gardé dans un coin de ma tête pour ma vie professionnelle.

Certains passages je dois l'avouer sont très poétiques et décrivent très bien les multi-histoires d'amour d'une famille : l'amour d'une femme pour son mari, l'amour père-fille. Je n'ai juste pas compris autant les changements de dates surtout dans le "présent" par contre les flash back dans le passé sont très sypathiques.

Cependant, pour les personnes qui sont extérieur à cet univers là, ou qui ont besoin de mettre des mots sur ce qu'ils vivent, ce livre est une belle réussite. Ca n'a juste pas pris chez moi.

Note 14/20
Rempli la consigne le titre le plus long du Bingo Littéraire de l'Automne
Rapporte 53 points pour le Tour du Scrabble en 80 jours (vive le malus du  flibustier solitaire embauché dans un magasin de moules au milieu du Pacifique Nord -.-')

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire